L’imposition d’insectes dans nos assiettes !
Publié le 27 Septembre 2022

La nature est bien faite.
Le fait même d’éprouver un sentiment de répulsion à l’endroit d’une chose n’est jamais le fruit du hasard.
Ce principe, qui fonctionne d’ailleurs également pour les espèces animales, est à la base de l’évolution (attention, cela ne fait pas de moi un partisan de Darwin, loin s’en faut…)
Or, ce phénomène s’applique aussi, bien évidemment, à la nourriture. C’est pourquoi, pour ne citer qu’un exemple, nous avons tous une répulsion naturelle face à l’idée de boire notre propre urine ou de manger nos propres excréments (oui, pardon pour les âmes sensibles…).
Que ce processus soit souvent inconscient ou instinctif (comme dans le cas des animaux) n’enlève rien à sa véracité.
Ainsi, si tout être humain sain d’esprit éprouve aussi un sentiment de rejet naturel à l’idée de manger des insectes, cela non plus n’est pas dû au hasard.
Fort de ces considérations, une question devient inévitable.
Pourquoi donc cet acharnement du politiquement correct à vouloir à tout prix nous habituer à l’idée de manger un jour des insectes, "nourriture" qui pourtant et à juste titre nous dégoutte ?
Eh bien, au fond, cela n’a rien d’étonnant.
C’est que manger un bon steak ou des pommes frites, pourrait rappeler aux hommes postmodernes, cette terrible époque où ils étaient tous des salauds de fascistes intolérants et non "inclusifs", encore capables de différencier une femme d’un homme, une petite fille d’un petit garçon, un chien d’un chat et (surtout) le bien du mal.
Cette volonté de la dictature culturelle mondiale de vouloir maintenant aussi changer radicalement nos habitudes culinaires, n’a d’autre but que d’accélérer ce processus qui commença avec le protestantisme et la franc-maçonnerie spéculative voici presque 500 ans : vider l’être humain du Divin, pour pouvoir le remplir ensuite plus facilement avec le diable (un peu comme il est nécessaire en informatique de vider la mémoire d’un disque dur pour pouvoir lui installer un nouveau programme).
C’est que manger, c’est pouvoir vivre.
Changer les codes fondamentaux de la nutrition, aura donc un impact psychologique et culturel extrêmement profond chez l’être humain.
En outre, et pour des raisons évidentes, cela sera d’autant plus vrai pour les chrétiens qui ont reçu le message essentiel du Christ (la Nouvelle Alliance) pendant la Cène (un repas).
Oui, remplacer, si c’était possible, le pain et le vin par…..de la vermine.
In fine, nous devons considérer l’introduction (qui va être de plus en plus imposée) d’insectes dans la nourriture humaine comme une attaque "de plus" contre le réel, au même titre que l’étaient déjà la légalisation du meurtre de l’innocent absolu qui est l’enfant-à-naître, le mariage homosexuel "contre Dieu et nature", la PMA "pour toutes" ou encore la théorie du genre.
Après nous avoir imposés, hélas avec succès, les lois d’infamie de dénis du réel et notre défiguration (consentie) par le torchon de soumission (masque), la dictature essaye maintenant de nous imposer l’amour de la vermine.
Jean-Pierre Aussant
le samedi 10 septembre 2022 :
https://lesmoutonsenrages.fr/2022/09/10/limposition-dinsectes-dans-nos-assiettes-element-essentiel-de-la-deconstruction-comprendre/