Ces Vaxxins faits pour Stériliser les femmes !
Publié le 7 Juin 2022
L’utilisation de vaccins antitétanique pour inoculer des substances illicites aux citoyens d’Inde, d’Afrique ou d’Amérique Latine est rapporté dans un ouvrage intitulé "l’élimination des pauvres" (2021).

Le livre intitulé L’élimination des pauvres (Edition du Bien Commun, 2021) relate des expériences intéressantes sur la mise au point d’un vaccin anti-grossesse depuis les années 80, impliquant notamment l’OMS dans un projet de contrôle démographique des populations dans les pays pauvres.
Dès 1972, le rapport Meadows commandé par le Club de Rome préconisait la "croissance zéro" et de "geler" les inégalités de richesse, laissant les pays pauvres dans leur état.
Des vaccins antitétaniques contenant du hCG depuis des décennies ?
Dans la ligne du rapport Meadows, l’OMS met en place dès 1974 une équipe (Task Force) pour la recherche d’un vaccin anti-fertilité.
"Il s’agit d’une hormone naturelle, responsable du maintien du corps jaune, qui est généré par la femme dès que la fécondation a eu lieu.
"L’organisation Human Life International (HLI) a reçu une communication de sa filiale mexicaine, le Comité Pro vida de Mexico, concernant la campagne anti-tétanos dans ce pays.
Il est intéressant de constater que les premières recherches sur ce processus ont débuté au tout début des années 1970 et que les recherches sur l’hCG couplé à l’anatoxine tétanique ont été conduites dans les années 80 par le Comité international de la recherche contraceptive du Population Council (CIRC)… que l’on retrouve donc au cœur de cette affaire en lien avec l’OMS. Le CIRC a financé depuis les années 70 des recherches intensives sur ce vaccin anti-fertilité, notamment auprès de l’Institut National d’Immunologie de New Dehli ou encore auprès de l’équipe dédiée de l’OMS à Genève avec pour finalité le contrôle des naissances.
En réalité, la poursuite de ces recherches a posé de nombreux problèmes, particulièrement éthiques, et la communauté scientifique internationale a soulevé les difficultés en lien notamment avec les conséquences de telles vaccinations pour l’être humain. Vernon évoque, pour les femmes qui recevraient un tel vaccin, "les conséquences de production d’anticorps" qui bloquent le processus de reproduction pour une durée qui reste peu connue à grande échelle.
Dirnhofer S, Wick G et Berger P, qui sont des scientifiques internationalement reconnus, qui plus est favorables au contrôle des naissances, dénoncent les problèmes de sécurité, d’efficacité et de convenance de l’utilisation du hCG pour un vaccin contraceptif.
La responsabilité de l’OMS !
L’OMS est donc potentiellement condamnable pour plusieurs faits :Pratique illégale d’essai vaccinal à grande échelle sans l’accord des autorités mexicaines, du moins officiellement (il n’y a pas, à notre connaissance, de publication scientifique sur cet essai, ce qui est impensable dans les années 90 et montre que la vaccination contre l’infertilité est non déclarée) ;
Pratique illégale d’un essai vaccinal à grande échelle, soit dans un processus de phase III, tel que défini par la communauté scientifique internationale et l’OMS elle-même faisant office d’autorité en la matière. Il n’y a pas de garantie que les phases précédentes (I et II) aient été validées et aient donné lieu à une autorisation légale et officielle pour un essai en phase III ;
Utilisation de cobayes humains et injection d’une substance non indiquée et non autorisée à l’insu des populations cibles ;
Volonté avérée et acte prémédité de dissimulation auprès des populations auxquelles il est proposé l’injection sous le motif d’un vaccin antitétanique ;
Mise en danger des mères[1] et surtout des enfants qu’elles pouvaient porter à leur insu (premiers mois de grossesse), notamment le risque de malformation congénitale ou de décès de l’enfant in utéro.
L’OMS n’a cependant jamais été inquiétée, ni ses partenaires en matière de vaccination hCG au Mexique.
Le pouvoir d’influence et de domination d’une organisation privée internationaliste, comme l’OMS et les Nations-Unies en général, ainsi que des Institutions financières internationales.
La totale immunité qui confère à ces organisations privées des droits que n’ont ni les citoyens, ni les nations au sein de la communauté internationale.
Il est légitime de se poser la question de l’existence d’autres situations similaires qui ne sont pas rendues publiques, notamment en Afrique où la remontée d’informations sur de nombreux projets reste parfois opaque.
L’élimination des pauvres a également fait l’objet d’un article intitulé Les dérives de l’ONU et des philanthropes qui met en cause l’intervention de la fondation Bill Gates dans les pays pauvres, s’il fallait encore montrer le rôle de cette organisation aux côtés de l’OMS et dans les orientations truquées d’une politique sanitaire mondiale visiblement construite pour réduire la population mondiale.
[1] Les auteurs (cf. Dirnhofer S, Wick G et Berger P) précisent que les effets immuno-pathologiques associés au hCG et au hLH restent à être évalués chez l’être humain. D’autres problèmes liés à la sécurité de ces vaccins se posent en raison de réactions auto-immunes et de la perturbation mal connue du système endocrinien.
Publié par Paul : https://echelledejacob.blogspot.com/2022/06/des-produits-illicites-ont-ete-utilises.html#more